2025 approche à pas de course. Les enseignants du RHDP (UE-RHDP), structure spécialisée du parti au pouvoir, ont donné le ton. L’appel à la candidature du président Alassane Ouattara pour l’élection présidentielle de 2025, est lancé.

« Vu que le président Alassane Ouattara est à son premier mandat de la 3eme République ».

Le 30 octobre 2016 a lieu un référendum sur l’établissement d’une nouvelle constitution et le passage à la Troisième République en Côte d’Ivoire.

L’appel de Daoukro l’a initié. La volonté de la majorité l’a reconfirmé en 2020. C’est désormais une volonté populaire qui souffle à nouveau dans ce sens. Vu que la constitution le permet. Vu le leadership avec lequel le président dirige le pays. Vu l’image rayonnante qu’il a offert à la Côte d’Ivoire avec la plus belle des CAN organisée du 13 janvier au 11 février dans le pays.

« En moins de 15 ans de pouvoir, le président Alassane Ouattara a fait plus de réalisations que le pays n’a pu connaître depuis son indépendance », renchérit un Ivoirien fier de son président.

Appel lancé, à raison, les enseignants de la structure spécialisée du parti, n’attendent désormais que le OK du candidat souhaité. « Pour défendre par tous les moyens cette candidature « , a-t-il poursuivi.

De nombreux autres comités et autres mouvements de soutien se lancent dans cette course politique. La l’égalité l’autorise. Tous ont donc la constitution avec eux. Tous ont aussi le résultat politique avec eux.

La pression monte et montera fort bien ces jours-ci après cet appel des enseignants. Alassane Ouattara, l’est. En réalité, le candidat idéal pour mener la Côte d’Ivoire d’un pays sous développé à un pays émergeant comme il le souhaite. La volonté du candidat souhaité y est. La constitution avec lui.

Surtout que l’autre opposant, LG, se l’est déclaré. Candidat pour le compte de son parti, le PPA-CI. Les dés sont jetés. Plus rien ne peut désormais obstruer le chemin du candidat souhaité par le parti au pouvoir. Seule sa volonté personne a laquelle ses partisans sont désormais accrochés.

 Sam Wakouboué