Justice climatique : «Nous devons être le chien de garde pour demander la redevabilité aux politiques» (Omar Faruk, président de la FAJ)





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Omar Faruk Osman, le président de la FAJ a appelé les journalistes africains à l'action sur la question de la justice climatique



Le président de la Fédération africaine des journalistes (FAJ), Omar Faruk Osman, a insisté sur la nécessité pour les journalistes de s’investir pleinement dans la justice climatique. C’était à l’ouverture de la conférence continentale sur la justice climatique qui s’est déroulée à Abidjan les mercredi 04 et jeudi 5 septembre 2024, à Abidjan.

« Nous sommes des acteurs du changement. (…) Nous devons être le chien de garde pour édifier le public, pour demander la redevabilité aux politiques », a-t-il lancé.

Pour lui, les journalistes africains doivent être des activistes forts pour inclure le narratif africain dans le système mondial, en fonction de leurs réalités (...). « C'est pourquoi nous sommes ici, pour discuter du rôle des journalistes dans la crise climatique. », a-t-il expliqué.

Selon le président de la FAJ, la conférence d’Abidjan est bien plus qu’une simple réunion. Il s’agit d’un « appel à l’action pour amplifier la voix africaine dans ce contexte de changement climatique ».

Initiée par la Fédération des journalistes africains (FAJ), en collaboration avec l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), cette rencontre s’est déroulée autour du thème : « Renforcer les capacités des journalistes pour faire avancer une juste transition climatique en Afrique » et a réunit des syndicats de journalistes venus d’une cinquantaine de  pays africains.

Solange ARALAMON


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